Le regard à l'horizon,pour surtout ne rien manquer.



Une costume de grand,mais un coeur d'enfant.

Cette photo à une lueur de pays magique je trouve.


Attendre,attendre,attendre et espérer

Explique moi. Explique moi quand est ce que tout a foutu le camps. J’comprends plus c’que tu veux moi ! Tu m’aimes mais tu veux plus me voir, je te manques mais c’est à moi de faire sans cesse le premier pas.
Pourquoi ça fait deux ans que tu restes avec moi alors que tu dis que j’suis malsaine pour toi ? Tu pouvais pas me le dire avant ? Quand je t’avais pas encore mise dans mes essentielles ? Il t’a fallu tout ce temps pour t’en rendre compte, ou bien est-ce juste pour mieux me détruire ?
Apparemment t’en as rien à foutre de moi,être sans nouvelles semble te convenir à merveilles. Pourquoi tu disais que tu m’aimais,mieux,que tu m’aimes encore ?
Pourquoi tu disais que tu me faisais confiance ? Pourquoi tu me mens sans cesse ? Tu me caches tout de toi, me considères-tu aussi bas que je ne mérite même pas la vérité ? Tu veux pas me parler parce que je t’aimes trop dis tu. A présent ,une part de moi te hais profondément. Vas-tu me parler ? Tu veux pas me faire souffrir m’as tu dis aussi. Mais ton silence blesse mille fois plus,peux-tu comprendre ça ?
Tu as besoin de m’aimer avec de la distance,m’as tu asséné. Il semblerait que les plus de 500 kilomètres qui nous séparent ne soient pas suffisants pour toi. Dois-je m’exiler à l’autre bout du monde, sans aucun contact avec l’extérieur,ou bien est-ce encore trop proche ?
J’ai l’impression de vivre le pire des mauvais rêves,mais je le sais bien réel,la réalité est devenu un cauchemar dont je ne peux me défaire.
Tu me reproches de trop t’aimer, mais est ce que tu comprends qu’en disant cela tu me reproches purement et simplement d’être moi-même. Ma capacité d’amour est la caractéristique essentielle de ma personnalité. Tu peux me faire mille reproches,me demander de changer des centaines de choses,mais si mon amour n’est pas à ta convenance,tu as frappé à la mauvaise porte et tu es en train de me mettre lentement en lambeaux.
Je ne sais même plus si c’est le passé ou le présent que je dois utiliser pour parler de toi.

Tu sais,j’ai cru pouvoir me défaire de mon image de la vie comme étant une navigation éreintante en solitaire, mais mes rares compagnons de voyage m’enfoncent la tête sous l’eau. Et sous l’eau,on est toujours tout seul.

Un bouquet d'enfant vaut tous les jardins du monde.






Le regard dans les vagues des rêveries.

Fragile poupée de porcelaine face au vent.



Apparition à la lumière de la foret.